[Billet] Loi d'amnistie: Un coup de peinture et ça repart !
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[Billet] Loi d'amnistie: Un coup de peinture et ça repart !
Les greffiers des Cours et Tribunaux du Sénégal, exerçant leur droit de grève (art.25 const. 2001 et art.
Monsieur le Premier Ministre,
Dans une analyse rigoureuse, le magistrat Cheikh Mbacké Ndiaye, docteur en droit public membre du Service d’études et de documentation (Sed) du Conseil constitutionnel, est revenu sur la décision n° 1/C/2025 du 23 avril 2025 ayant censuré l’article premier de la loi interprétative n° 08/2025.
Par une décision rendue le 23 avril 2025, le Conseil constitutionnel du Sénégal a déclaré inconstitutionnelle la Loi d’interprétation de la Loi d’amnistie, adoptée par l’Assemblée nationale, le 02 avril 2025.
Les responsables, secrétaires nationaux et secrétaires généraux des fédérations du PUR, saluent la décision courageuse du Conseil Constitutionnel rejetant la loi d’interprétation de la loi d’amnistie.
Le leader du mouvement « Demain, c’est maintenant » s’est fendu d’un post sur X pour commenter l’actualité de ce mercredi 23 avril. Le journaliste de formation a réagi à la déclaration du conseil constitutionnel indiquant que la loi d’interprétation de la loi d’amnistie, votée le 2 avril par l’assemblée nationale, est contraire à la constitution.
Les réactions s’enchaînent à la suite de la déclaration du conseil constitutionnel ce mercredi 23 avril. Pour l’institution, la loi d’interprétation de la loi d’amnistie, votée le 2 avril dernier, est contraire à la constitution. Dans un communiqué publié ce mercredi, le Secrétariat Exécutif National s’est félicité de la « sage décision du Conseil Constitutionnel » de juger contraire à la Constitution la loi d’interprétation votée par l’Assemblée nationale.
Le Premier ministre et président du parti Pastef-Les patriotes, Ousmane Sonko, a réagi mercredi soir à la décision du Conseil constitutionnel sur la loi dite « interprétative », saluant une validation des objectifs poursuivis par son groupe parlementaire, malgré les critiques d’une partie de l’opposition.
Dans une décision très attendue, le Conseil constitutionnel du Sénégal a déclaré, ce mercredi, que la Loi d’interprétation de la Loi d’amnistie, votée par l’Assemblée nationale le 2 avril 2025, est contraire à la Constitution.
Le ministre de l'Énergie, Birame Souleye Diop a rendu visite au leader du mouvement politique ‘’MASLA’’, Massamba Diop, ce samedi 5 avril 2025.
La récente baisse du prix du riz, effective ce 4 avril 2025, illustre une gouvernance tournée vers des résultats tangibles et des solutions pérennes, selon le président Bassirou Diomaye Faye.
Au-delà de l’impératif de vérité, le défi qui se pose à notre nation est celui de juger l’histoire sans compromettre son avenir.
Une vive tension a marqué la séance plénière du 2 avril 2025 à l’Assemblée nationale, lors de l’examen de la proposition de loi n°05/2025 portant interprétation de la loi d’amnistie de 2024.
Lors de la séance plénière du 2 avril 2025 à l’Assemblée nationale, consacrée à l’examen de la proposition de loi n°05/2025 portant interprétation de la loi d’amnistie de 2024, la députée Amy Dia (Pastef)
En cette après-midi du 2 avril 2025, lendemain de la Korité, le secrétariat national des Sociaux-Démocrates du Sénégal (SDS), dirigé par le Dr Mohamed Lamine Manga, a tenu une conférence de presse pour interpeller les autorités sur plusieurs dossiers brûlants
Avec une gravité solennelle, Anta Babacar Ngom Diack, présidente du parti Alternative pour la Relève Citoyenne (ARC) et députée non inscrite, a pris la parole via ses plateformes numériques pour alerter sur la proposition de loi d’interprétation de l’amnistie de 2024, qui sera débattue à l’Assemblée nationale ce 2 avril 2025. Pour la parlementaire, ce texte représente « un tournant sombre pour notre démocratie encore fragile ».
Mamadou Ibra Kane, président du Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS), a publié ce jour une mise au point virulente en réponse aux déclarations du député Amadou Ba de Pastef.
La controverse entre les tenants du pouvoir et l’opposition sur la loi interprétative de la loi portant amnistie votée en 2024 est de bon aloi.
La controverse sur la proposition de loi du Pastef portant interprétation de la loi d'amnistie de 2024, se poursuit.