La justice doit être rendue est cela va se faire. Telle est la conviction de Me Pape Mamaille Diockou, avocat au barreau de France et président du mouvement Sénégal Nafa. « La justice se rendra quoiqu’il arrive au Sénégal, un pays de droit.
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La justice doit être rendue est cela va se faire. Telle est la conviction de Me Pape Mamaille Diockou, avocat au barreau de France et président du mouvement Sénégal Nafa. « La justice se rendra quoiqu’il arrive au Sénégal, un pays de droit.
Les organisations telles que FRAPP, Vision Citoyenne ; ON2J et Amnesty International manifestent leur soutien aux familles des victimes des événements politiques entre 2012-2024. Elles exigent justice et lumière.
Les victimes des manifestations politiques survenues entre 2021 et 2024, à Ziguinchor, ne savent plus où donner de la tête.
Le ministère de la Justice a répondu favorablement à la requête du membre fondateur de l'Initiative zéro impunité adressée au chef de l’État sur le manque de réactivité de la justice face aux crimes qui ont secoué le pays entre 2021 et 2024.
Après avoir conquis les autorités sénégalaises avec son exposition "Première Ligne", Abdou Karim Ndoye a séduit le président capverdien José Maria Neves.
Ce mercredi 3 juin 2025 , Bara Ndiaye, président du parti Forces Ouvertes pour la République et le Travail (FORT), a publié une tribune dans laquelle il défend l’éventuelle candidature de l’ancien président Macky Sall
Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme a appelé vendredi le Mali à abroger le décret ayant dissous les partis et à "rétablir pleinement les droits politiques dans le pays".
Au Musée des Civilisations Noires à Dakar, le photographe sénégalais Abdou Karim Ndoye a présenté vendredi son exposition « Première Ligne », qui retrace les manifestations sanglantes...
Dans une décision très attendue, le Conseil constitutionnel du Sénégal a déclaré, ce mercredi, que la Loi d’interprétation de la Loi d’amnistie, votée par l’Assemblée nationale le 2 avril 2025, est contraire à la Constitution.
Lors de l’examen du projet de loi d’interprétation de la loi d’amnistie, finalement adopté ce mercredi 2 avril, des députés Pastef ont demandé la convocation de Adji Sarr.
Lors de la séance plénière de l’Assemblée nationale ce mercredi 2 avril 2025, le député Ismaëla Diallo, membre du groupe parlementaire Pastef/Les Patriotes, a rendu un hommage poignant aux victimes des manifestations politiques survenues entre 2021 et 2024.
La controverse entre les tenants du pouvoir et l’opposition sur la loi interprétative de la loi portant amnistie votée en 2024 est de bon aloi.
En réécrivant entièrement sa proposition de loi sur l’amnistie, Pastef persiste dans ce qui s’apparente à une manœuvre politique plutôt qu’à une clarification juridique.
Dans un communiqué rendu public ce dimanche 23 mars, la Cellule des cadres de Guem Sa Bopp s'est prononcée sur le projet de loi interprétative de la loi d’amnistie.
Amadou Ba, vice-président de l’Assemblée nationale : "Cette loi d’amnistie est un permis de tuer"
L’Alliance Pour la République (APR) a publié, le 17 mars 2025, une déclaration cinglante intitulée "N’interprétez pas, abrogez-la !"
Un an après son adoption au forceps à la veille de la présidentielle du 24 mars, la loi d’amnistie générale -portant sur les faits liés aux manifestations politiques ayant secoué le pays entre février 2021 et février 2024- fait encore jaser.
Le député du Pastef, Amadou Ba, a déposé, sur la table du président de l'Assemblée nationale, une proposition de loi portant interprétation de la loi d'amnistie, avec six articles.
Le collectif CartograFreeSenegal a récemment dévoilé son rapport final sur les décès survenus lors de la répression des manifestations politiques.
Dans un paysage politique où l’opposition traditionnelle peine à s’organiser, Thierno Alassane Sall (TAS), leader de la République des Valeurs (RV), s’impose comme un électron libre.