Dette du Sénégal : comment Cheikh Diba compte faire passer le taux de 130% à 101% en 2028
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Dette du Sénégal : comment Cheikh Diba compte faire passer le taux de 130% à 101% en 2028
Le funambule budgétaire : Le Sénégal sur le fil de sa dette
Le gorgorlou sénégalais sous le fardeau fiscal
Le Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE a présidé, ce mercredi 17 septembre 2025, la réunion hebdomadaire du Conseil des Ministres
De nos jours, le rôle des femmes dans nos différentes économies est une réalité au niveau mondial
Sonko et le mobile money : Une réforme fiscale qui pourrait coûter cher aux Sénégalais
Gamou champ de Course, PUR, PRES 2025-2028: La réaction de Cheikh Tidianes Youm
Plan de redressement : Diomaye Faye accélère le tempo
Réussite du Plan de redressement économique et social : Le gouvernement sollicite les prières du khalife général des mourides
Le Sénégal fait face à une crise financière marquée par des déficits budgétaires persistants et un endettement galopant, avec un service de la dette de plus en plus lourd et des besoins annuels dépassant 5 000 milliards FCFA (2025–2028), selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD.
Le Plan de Redressement Économique et Social (PRES) 2025–2028, dévoilé par le gouvernement sénégalais, ambitionne de mobiliser 6 400 milliards FCFA sur quatre ans via la rationalisation des dépenses, le recyclage d’actifs publics, la fiscalité et des financements endogènes. Cependant, selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-USEG, cette enveloppe reste largement insuffisante face aux besoins réels. Une estimation synthétique révèle un besoin total de 22 480 milliards FCFA sur la période, incluant 5 715 milliards FCFA en 2025 (déficit budgétaire + amortissement + OPEX), 2 925 milliards FCFA de déficits cumulés (2026–2028), et 13 840 milliards FCFA d’amortissement de la dette publique (probablement sous-estimé selon les données du BSDP 2024).
Pétrole et gaz : La désillusion du Sénégal
Le vendredi 1er août a été marqué par la présentation du plan économique et social du gouvernement au grand théâtre national
le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a dressé un premier bilan de ses réformes, axées notamment sur la rationalisation des dépenses publiques
Plan de Redressement : Ousmane Sonko mise sur la valorisation des actifs publics, la base de Rufisque sujet sensible
De mal en pis. S&P Global Ratings vient d’abaisser la note de crédit à long terme du pays, tant en devises étrangères qu’en monnaie locale. La donnée passe de B à B-. L’agence conserve par ailleurs une perspective négative.
Le Sénégal et l’Union européenne (UE) renforcent leur coopération sécuritaire.
« Les ressources naturelles appartiennent au peuple.
Alors que les infrastructures du Sénégal s’étendent et que les ambitions de développement s’affichent avec fierté, les moyens de financement suscitent de vives interrogations. Eurobonds, crédits bilatéraux, emprunts multilatéraux… Derrière les projets du Plan Sénégal Émergent se cache une mécanique financière complexe. En 2025, la dette publique du pays avoisine les 100 % du PIB, avec un service de la dette qui absorbe près d’un tiers des recettes budgétaires de l’État. À l’heure où les échéances s’accumulent, une question s’impose : dans quelle mesure ces flux d’endettement servent-ils réellement l’économie productive et le bien-être collectif ?
Le Débat d’orientation budgétaire (D.O.B.) a démarré à l’Hémicycle