Olesegun Obasanjo offre sa médiation pour un apaisement du climat politique au Sénégal. L’ancien chef d’Etat nigérian est attendu dimanche à Dakar, mais l’on peut déjà craindre que son déplacement ne soit vain.
Le Président Wade ne va pas refuser l’offre de médiation d’un de ses anciens pairs du Nepad, le président Olesegun Obasanjo. Selon le chargé de communication de son directoire de campagne, sur les ondes de la radio Sud FM, le médiateur de la CEDEAO devra entamer les négociations avec le chef de l’Etat sénégalais et l’opposition après la Présidentielle.
Me El Hadj Amadou Sall montre ainsi que le candidat des FAL 2012 - si enclin souvent à appeler au dialogue - n’est pas les dispositions de négocier avec l’opposition à une semaine du scrutin et dans un contexte assez tendu marqué par de violentes manifestations à Dakar et dans les régions.
56 Commentaires
Sénégalais Bissi Souff !!
En Février, 2012 (07:24 AM)Senenmut
En Février, 2012 (07:26 AM)Falilou Senghor
En Février, 2012 (07:29 AM)Pauvres policiers, qui doivent suivre ce vil gougnafier, le sieur Ngom Ousmane.
Pauvres forces de l’ordre infiltrées par cette vermine de calots bleus de Ubu WAde….
Pendant ce temps le rejeton indigne de Ubu Wade est terré et prêt à appeler tonton Robert Bourgi à la rescousse.
Le stock de carburant, munitions et autres grenades lacrymogènes est largement entamé.
Le vieux Schounk illégitime qui croit encore nous gouverner n’avait prévu leur utilisation qu’après les résultats des élections.
C’est encore des dépenses que l’on va faire supporter à l’Etat du Sénégal.
Les chefs de la Police vont encore se sucrer en prétendant devoir acheter des stocks de carburant et racheter des lacrymo .
Et dire que Chaque grenade lacrymogène balancée à des citoyens sénégalais, coûte plus de 10.000 fr de nos pauvres deniers .
Mille lacrymo = 10 millions etc.
Vive le Sénégal .
Vu...
En Février, 2012 (07:35 AM)....
Orléans45
En Février, 2012 (07:40 AM)Manifeste de « Devoir de Résistance »
« Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko
Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.
Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?
Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.
Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.
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Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.
Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.
Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.
La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.
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1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.
La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.
2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au
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dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.
3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.
Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis
Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey
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Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,
Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger
Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger
Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger
Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger
Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger
Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Lina Husseini, Libraire, Dakar
Mamadou Sarr, Colonel à la retraite
Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Xavier Correa, Juriste, New-York
Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris
Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
Fallou86
En Février, 2012 (07:40 AM)Un Senegalais
En Février, 2012 (07:41 AM)Nous serons durs sans haine et des deux bras ouverts.
L'épée, nous la mettrons dans la paix du fourreau,
Car le travail sera notre arme et la parole.
Le Bantou est un frère, et l'Arabe et le Blanc.
Mais que si l'ennemi incendie nos frontières
Nous serons tous dressés et les armes au poing :
Un peuple dans sa foi défiant tous les malheurs,
Les jeunes et les vieux, les hommes et les femmes.
La mort, oui ! Nous disons la mort, mais pas la honte.
Modougm
En Février, 2012 (07:42 AM)Ate
En Février, 2012 (07:44 AM)Ba
En Février, 2012 (08:47 AM)Joob Gey
En Février, 2012 (08:53 AM)VOUS SAVEZ LUI, IL N'EST LA QUE QUAND LA TABLE EST SERVIE.... QUAND CELA SENT LE ROUSSI IL SE MET AU FRIGO. PERSONNE NE L'ENTEND DEPUIS LE DÉBUT DES ÉVÈNEMENTS.
Ndy
En Février, 2012 (08:59 AM)Rangers
En Février, 2012 (09:12 AM)PERSONNE NA VOTE POUR WADE donc si les civils suivent le votent des militaires wade partira forcément
Gainder
En Février, 2012 (09:17 AM)Ancien
En Février, 2012 (09:22 AM)Tartuffe
En Février, 2012 (09:34 AM)Fama
En Février, 2012 (09:36 AM)Honneur
En Février, 2012 (09:45 AM)doit comprendre que c est fini pour lui et sa clique
Vu...
En Février, 2012 (09:57 AM)... 2012.... aprés des COURS DE YOGA...... j'en suis à zéro température..... ET J'ATTENDS LE 26/02/2012...
... :) :) :)
Ives
En Février, 2012 (09:58 AM)Sénégalais mobilisons nous pour que ce vieux singe et ses souteneurs soient chassés du pouvoir
Sadioba
En Février, 2012 (10:11 AM)Mygol
En Février, 2012 (10:17 AM)Sopargni
En Février, 2012 (10:18 AM)sopargni ak macky sall
sopargni ak macky sall
sopargni ak macky sall
Zembla
En Février, 2012 (10:20 AM)Qu'il retourne à sa ferme de Ota et bouffe les sous qu'il a détournés et rumine son rêve de dictateur abrégé. Obasanjo est ZERO! Comme Wade.
Rahne
En Février, 2012 (10:23 AM)Gp
En Février, 2012 (10:25 AM)Jex
En Février, 2012 (10:26 AM)Sopargni
En Février, 2012 (10:28 AM)sopargni ak macky sall
sopargni ak macky sall
sopargni ak macky sall
jumpy:
D.
En Février, 2012 (10:38 AM)AU nom de tous les Malick BA,
au nous de toutes les victimes des Wade,
au nom de notre cher Senegal,
RESISTONS !!!!!!!!!!!!
Il faut que les
WADE DEGAGENT !!!!!!
Diop
En Février, 2012 (10:42 AM)Guiss Guiss
En Février, 2012 (10:49 AM)Naffisatou Diallo
En Février, 2012 (10:53 AM)Amt
En Février, 2012 (10:54 AM)Aveugle
En Février, 2012 (10:57 AM)Guiss Guiss
En Février, 2012 (11:03 AM)Bouly
En Février, 2012 (11:04 AM)Sopargni
En Février, 2012 (11:05 AM)sopargni ak macky sall
sopargni ak macky sall
sopargni ak macky sall
Guiss Guiss
En Février, 2012 (11:11 AM)Omar
En Février, 2012 (11:20 AM)Aveugle
En Février, 2012 (11:24 AM)Blain
En Février, 2012 (11:28 AM)Bande De Cochon
En Février, 2012 (11:29 AM)tous ces vautours americains francais cedeao oublient le nombre de militants de wade qui pour le moment applique la consigne du chef: "borom thiakh dou khekh ak borom batou nene"
il faut faire tres attention le pds a la capacité de manifester de bruler et de mettre a genou ce pays pour 25ans il est imperatif de laisser le peuple voter et decider de son avenir
yonou diam soriwoul bayilen di roukh gaindé
Guiss Guiss
En Février, 2012 (11:34 AM)Sage
En Février, 2012 (11:35 AM)Le problème du NIGERIA est dix mille fois plus compliqué. OBASANJIO doit régler le problème de s on pays qui touches des millions de personnes au lieu de penser à un petit problème sénégalis de près de 200 personnes qui s'agitent à travers au plus 5 Rues de DAKAR.
Je ne vote pas pour WADE, mais il aime son pays et le défend très bien.
Y a plus de 5 Télévisions actuellement au Sénégal. Mais, ya que WALF et TFM qui font des DIRECTS ce qui n'existe même pas dans des pays en Guerre. Prendre 400 000 000 de notre TRESOR comme ça. Plus traitre ça n'existe pas.
2012 a permis de démasquer plusieurs imposteurs.
Guiss Guiss
En Février, 2012 (11:44 AM)Mais, si on a peur des urnes c'est parce qu'on se sent minoritaire et pour empêcher la majorité de gouverner on fait appel à la violence. C'est le cas du M23 qui est conscient de la majorité de Wade.
Aveugle
En Février, 2012 (12:06 PM)Samory Aw
En Février, 2012 (12:20 PM)Repugnant
En Février, 2012 (13:20 PM)Adia
En Février, 2012 (14:12 PM)Chose
En Février, 2012 (14:33 PM)Amour et paix pour notre Sénégal
Mandela Sow
En Février, 2012 (23:04 PM)Mandela Sow
En Février, 2012 (23:37 PM)Mandela Sow
En Février, 2012 (00:06 AM)Natiss
En Février, 2012 (23:53 PM)Didi
En Février, 2012 (13:34 PM)La seule chose qui intéresse Wade, c'est de mourir en tant que Président de la République, mais Pas un Taggé du genre M Abdoulaye Wade, ANCIEN président de la république.
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En Février, 2012 (15:24 PM)Participer à la Discussion