Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Pour résoudre la crise dans le secteur de la presse, le journaliste économiste et ancien chercheur au Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI) a déclaré que plusieurs études ont montré la digitalisation comme un levier pour diversifier les sources de revenus. Mais il faudrait respecter des préalables. Des modèles ont déjà réussi.
Face aux difficultés (dette fiscale, perte d’emploi, détérioration des conditions de travail des journalistes, fermeture de certains médias) qui étouffent les entreprises de presse, le président du Conseil des diffuseurs et des éditeurs de presse au Sénégal (CDEPS), Mamadou Ibra Kane, déclare que les entreprises de presse doivent revoir leur modèle économique. À ce sujet, il présente quelques pistes de solution.
"La presse sénégalaise vit ces temps-ci comme un naufragé en pleine mer : à bout de forces, à bout de souffle". C'est le cri du cœur de Sidy Diop, journaliste au quotidien national "Le Soleil" sur son compte Facebook. Pour cet éditorialiste, cette situation de la presse sénégalaise est imputable aux promesses non tenues du gouvernement et
Serigne Abô Mbacké Fallou Asta Dièye a plaidé la cause des journalistes, en invitant solennellement le président de la République à leur venir en aide.
Ils sont parfois oubliés parmi les acteurs qu’emploie le secteur des médias notamment la presse écrite.
À la date du 29 novembre, l’État du Sénégal ne reconnaît que 112 entreprises en conformité avec les dispositions du Code de la presse. Parmi elles, les journaux ne sont qu’au nombre de quatorze (14). Pourtant, quotidiennement, c’est une vingtaine de « Une » qui sont lues et partagées sur les réseaux sociaux. À interroger ces chiffres, l’on se demande comment s’en sortent financièrement ces entreprises de presse écrite ? Entre le modèle économique jugé obsolète et la multiplication des sites d’informations en ligne, quel avenir pour la presse écrite sénégalaise ?
Intransigeant, le nouveau gouvernement l'est sur les questions fiscales des médias.
Recevant la Convention des jeunes reporters du Sénégal, le président de la République a invité les responsables des médias à lui adresser une correspondance en vue de solutions pour sortir le secteur de la crise dans laquelle il est plongé.
Face à la montée en puissance des réseaux sociaux qui grappillent du terrain, les médias traditionnels sénégalais semblent avoir du plomb dans l’aile.
Serigne Abô Mbacké Fallou Asta Dièye a plaidé la cause des journalistes, en invitant solennellement le président de la République à leur venir en aide.
Ils sont parfois oubliés parmi les acteurs qu’emploie le secteur des médias notamment la presse écrite.
À la date du 29 novembre, l’État du Sénégal ne reconnaît que 112 entreprises en conformité avec les dispositions du Code de la presse. Parmi elles, les journaux ne sont qu’au nombre de quatorze (14). Pourtant, quotidiennement, c’est une vingtaine de « Une » qui sont lues et partagées sur les réseaux sociaux. À interroger ces chiffres, l’on se demande comment s’en sortent financièrement ces entreprises de presse écrite ? Entre le modèle économique jugé obsolète et la multiplication des sites d’informations en ligne, quel avenir pour la presse écrite sénégalaise ?
Intransigeant, le nouveau gouvernement l'est sur les questions fiscales des médias.
Recevant la Convention des jeunes reporters du Sénégal, le président de la République a invité les responsables des médias à lui adresser une correspondance en vue de solutions pour sortir le secteur de la crise dans laquelle il est plongé.
Face à la montée en puissance des réseaux sociaux qui grappillent du terrain, les médias traditionnels sénégalais semblent avoir du plomb dans l’aile.