Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Entreprendre au Sénégal : un ralentissement qui interroge les politiques de soutien
Le Conseil Mondial des Investissements et des Affaires pour l’Afrique (CMIA) et la Banque Ouest Africaine (BOA) ont signé une convention de cofinancement...
Approvisionnement en gaz : Sonko fixe un ultimatum à BP
L’économie sénégalaise devrait connaitre une croissance notable en 2025, avec un taux de progression du PIB réel estimé à 8 %, selon les dernières prévisions de la Direction générale de la Planification et des Politiques économiques (DPEE). Ce rebond fait suite à une croissance de 6,1 % en 2024.
L’économie sénégalaise devrait connaitre une croissance notable en 2025, avec un taux de progression du PIB réel estimé à 8 %, selon les dernières prévisions de la Direction générale de la Planification et des Politiques économiques (DPEE). Ce rebond fait suite à une croissance de 6,1 % en 2024.
En rompant avec le FMI, Ousmane Sonko engage le Sénégal sur un chemin inédit avec son plan « Jubbanti Koom ».
L’année 2025 s’annonce contrastée pour la situation monétaire du Sénégal.
Le 8 août 2025, le Sénégal a brillamment mobilisé 40 milliards F CFA sur le marché financier de l’UEMOA, confirmant une fois encore la solidité de sa signature souveraine.
Le Comité d’Organisation du Grand Magal de Touba, en partenariat avec le Complexe Cheikh Ahmadoul Khadim (CCAK) et l’Université Alioune Diop de Bambey (UADB), a lancé une étude majeure sur l’impact socio-économique de cet événement religieux sur l’économie sénégalaise.
Le Plan de Redressement Économique et Social (PRES) 2025–2028, dévoilé par le gouvernement sénégalais, ambitionne de mobiliser 6 400 milliards FCFA sur quatre ans via la rationalisation des dépenses, le recyclage d’actifs publics, la fiscalité et des financements endogènes. Cependant, selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-USEG, cette enveloppe reste largement insuffisante face aux besoins réels. Une estimation synthétique révèle un besoin total de 22 480 milliards FCFA sur la période, incluant 5 715 milliards FCFA en 2025 (déficit budgétaire + amortissement + OPEX), 2 925 milliards FCFA de déficits cumulés (2026–2028), et 13 840 milliards FCFA d’amortissement de la dette publique (probablement sous-estimé selon les données du BSDP 2024).
Aly Ngouille Sarr, banquier et candidat à l'élection présidentielle de 2024, met en garde contre les risques des Adjudications de Bons et Obligations du Trésor (APE) pour le secteur bancaire sénégalais. Il appelle à limiter ces émissions pour préserver la capacité des banques à financer l'économie.
Les Industries Chimiques du Sénégal (ICS) ont organisé, ce mercredi 5 février, un séminaire de restitution du rapport "Impact des ICS sur l’Économie sénégalaise", élaboré par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC)
Lors de sa déclaration de politique générale à l’Assemblée nationale, le Premier ministre Ousmane Sonko a abordé avec fermeté la question des dérives fiscales qui minent l’économie sénégalaise.
Sur le plan économique, le Sénégal a vécu d'un côté, une excellente nouvelle qui va durablement impacter le développement du pays et de l’autre une situation ‘’catastrophique’’ jusqu’ici inimaginable.
Ceux qui pensaient pouvoir compter sur les hydrocarbures pour faire décoller l’économie sénégalaise risquent de déchanter très vite.
Tout est bien qui finit bien. La fin des états généraux de l’industrie et du commerce marque le début d’une nouvelle ère pour l’économie sénégalaise.
Depuis la sortie du Premier ministre Ousmane Sonko et de son équipe, nombreux sont ceux qui se demandent quelles peuvent être les conséquences sur l’économie sénégalaise.
Les révélations sur l’état désastreux des finances publiques ont secoué plus d’un après une conférence de presse tenue par le Chef du Gouvernement. Après la communication des membres du gouvernement, Alioune Tine décrit l'économie sénégalaise comme étant plongée dans une "faille systémique inédite".
« L'économie sénégalaise a enregistré une croissance plus lente que prévue au cours du premier semestre de 2024.
Une équipe du Fonds Monétaire International (FMI), dirigée par M. Edward Gemayel, a effectué une mission au Sénégal du 5 au 12 septembre 2024 afin de poursuivre les discussions entamées en juin concernant le programme économique des autorités soutenu par les accords de la Facilité élargie de crédit (FEC) et du Mécanisme élargi de crédit (MEDC) du FMI, pour un montant de 1 132,6 millions de DTS (environ 1,5 milliard de dollars américains), combinés avec la Facilité pour la résilience et la durabilité (FRD) de 242,7 millions de DTS (environ 320 millions de dollars américains). Les accords FEC/MEDC et FRD ont été approuvés par le Conseil d'administration du FMI le 26 juin 2023.