Nous allons encore marquer le pas ce 4 avril 2023 pour parler au monde entier, laisser entendre à travers nos coups de pieds sur le sol, pour la 63eme fois, ce message sénégalais fort qui raisonne encore et encore dans le coeur des individus à travers les quatre coins du monde, ce message de « Diom, fouleu, fit ak fayda », c’est aussi le message de paix, de démocratie et de patriotisme.
Il porte la signature d’un vaillant peuple fier et respectueux. Le même qui sait identifier et donner un sens aux événements et à leur succession en fonction de leur contenu.
Écoutez donc l’appel du peuple qui vous hèle de l’autre rive de l’Atlantique dans l’optique de vous prendre comme témoins de faits d’histoire qui marquent son évolution afin que nul n’en prétexte ignorance.
Ce message consacrera une LETTRE ouverte du peuple sénégalais adressée au reste du monde et dans laquelle, on fera signe de vie pour manifester plus que jamais notre présence méritée sur la carte du globe.
Dans cette missive, on revendiquera comme jamais dans le passé, notre appartenance à une communauté spéciale, un peuple de guerriers, d’intellectuels et de religieux qui ont marqué leur époque en bravant les lignes apparentes de l’histoire.
On précisera que nous sommes fiers d’occuper ce pays merveilleux, petit de taille mais grand de valeurs, qui suit son temps et qui est maître de
son destin.
On écrira que nous sommes des descendants d’El Hadj Omar Foutyou Tall, de Cheikh Ahmadou Bamba, d’El Hadj Malick Sy, de Cheikh Ibrahim Niass, de Seydina Limamou Lahi Al Mahdi, de Mame Bou Kounta, etc.
Nous sommes fiers d’être les ambassadeurs du Sénégal, pays de la Téranga, cette hospitalité légendaire que nous partageons dans la gaité et la solidarité. On mentionnera que par la volonté divine, nous avons connu quatre chefs d’Etat et jamais de coups d’Etat.
On indiquera si bien que nous aimons le « Thiebou Dieun Penda Mbaye » [Riz au poisson] notre plat national qui a atteint une renommée internationale grâce à son goût unique.
On vous fera noter que chez nous on partage le Ngalax [bouillie à la patte d’arachide] lors de la fête de Pâques commémorant la résurrection du Christ et la viande de mouton pendant la Tabaski, fête du sacrifice chez les musulmans.
C’est dire que chrétiens et musulmans évoluent en cohabitation pacifique, harmonieuse, tolérante et parfaite jusqu’aux cimetières. Oui, des cimetières mixtes on en compte à Joal-Fadiouth et à Santhiaba, c’est à Ziguinchor, dans le sud du Sénégal.
On se met autour du barada [théière] pour prendre un verre de Ataya [Thé du Sénégal] sinon même se passer dans la rue un gobelet de Café Touba [Café fait au Sénégal] à deux trois et même plus.
Le car rapide [cars made in Sénégal]?est un moyen de transport public mythique mais qui ne se limite pas seulement à assurer la mobilité des personnes et des biens. À chacun de ses Klaxons, il nous rappelle la richesse de notre patrimoine matériel.
On vous fera comprendre de la même sorte que nous aimons tant ce drapeau vert, jaune et rouge avec une étoile verte au milieu de la bande jaune.
Que le Wolof [Principale langue nationale du Sénégal] plus qu’une langue est un vaste réseau social qui nous permet de vivre loin de la méfiance, dans la confiance et la crédulité.
On révèlera aussi à qui veut l’entendre que chez nous, le Mbalax [ Musique principale du Sénégal] est un trait d’union entre les cultures et pas qu’un simple rythme.
Pour ceux qui connaissent déjà notre lutte avec frappe, on vous mènera juste en pays sérère afin que vous puissiez profiter d’une belle séance de Mbappat [Lutte traditionnelle sans frappe] et par ricochet nous vous ferons découvrir dans la même zone le Nguel [Cérémonie festive avec danse traditionnelle sérère].
On ne va jamais oublier de vous rappeler que sur plan plan sportif, nous venons de réaliser un exploit historique en remportant tous les trophées de la Confédération Africaine de football;
qu’à quelques mois d’un scrutin présidentiel crucial, le peuple souverain du Sénégal saura comme il l’a toujours fait, exprimé sa maturité démocratique… pour vite se remettre au travail
afin de pouvoir célébrer les grandes victoires et autres instants solennels et mémorables qui se dessinent.
Nous voilà donc en train d’écrire une nouvelle page de notre si belle et riche histoire. Une page dont les prémices de beauté sont nimbées d’un tissu de cohésion flamboyant.
C’est dire que rien ni personne ne pourra entacher cet envol. En ce sens plus qu’une simple date, le 04 avril est devenu un rendez-vous citoyen, un jour de profession pour décliner notre réponse populaire à l’appel de l’honneur, qui nous rappelle notre commun vouloir de vie commune et notre sentiment de fierté nationale.
Notre attachement à cette devise qui veut que nous nous donnions la main en tant que peuple, pour un seul but à atteindre, dans une foi inébranlable.
On entonnera ce jour dans la plus parfaite des symphonies et telle une seule voix les cinq couplets du “lion rouge” qui a fini de retentir un peu partout dans chaque parcelle de terre de ce monde à chaque fois qu’il s’est agi de faire valoir l’identité et les prouesses des peuples.
Des sacrifices énormes ont été consentis, du sang versé en tout honneur et toute dignité, la fierté brandie comme arme au nom de ces générations préservées du mal.
Les champs de bataille seuls témoins valables continuent de célèbrer la bravoure de nos anciens combattants.
Partout dans les zones de crise du monde, d’aujourd’hui, on peut facilement lire « On nous tue mais on ne nous déshonore pas ».
Oui ! nos jambars tiennent haut le mât du drapeau national qui flotte contre vents et marées en l’honneur de ce peuple.
Nous sommes forts,?Nous sommes le Sénégal ?Nous sommes les sénégalais Fiers de l’être
Bonne fête de l’indépendance à tous!
Il porte la signature d’un vaillant peuple fier et respectueux. Le même qui sait identifier et donner un sens aux événements et à leur succession en fonction de leur contenu.
Écoutez donc l’appel du peuple qui vous hèle de l’autre rive de l’Atlantique dans l’optique de vous prendre comme témoins de faits d’histoire qui marquent son évolution afin que nul n’en prétexte ignorance.
Ce message consacrera une LETTRE ouverte du peuple sénégalais adressée au reste du monde et dans laquelle, on fera signe de vie pour manifester plus que jamais notre présence méritée sur la carte du globe.
Dans cette missive, on revendiquera comme jamais dans le passé, notre appartenance à une communauté spéciale, un peuple de guerriers, d’intellectuels et de religieux qui ont marqué leur époque en bravant les lignes apparentes de l’histoire.
On précisera que nous sommes fiers d’occuper ce pays merveilleux, petit de taille mais grand de valeurs, qui suit son temps et qui est maître de
son destin.
On écrira que nous sommes des descendants d’El Hadj Omar Foutyou Tall, de Cheikh Ahmadou Bamba, d’El Hadj Malick Sy, de Cheikh Ibrahim Niass, de Seydina Limamou Lahi Al Mahdi, de Mame Bou Kounta, etc.
Nous sommes fiers d’être les ambassadeurs du Sénégal, pays de la Téranga, cette hospitalité légendaire que nous partageons dans la gaité et la solidarité. On mentionnera que par la volonté divine, nous avons connu quatre chefs d’Etat et jamais de coups d’Etat.
On indiquera si bien que nous aimons le « Thiebou Dieun Penda Mbaye » [Riz au poisson] notre plat national qui a atteint une renommée internationale grâce à son goût unique.
On vous fera noter que chez nous on partage le Ngalax [bouillie à la patte d’arachide] lors de la fête de Pâques commémorant la résurrection du Christ et la viande de mouton pendant la Tabaski, fête du sacrifice chez les musulmans.
C’est dire que chrétiens et musulmans évoluent en cohabitation pacifique, harmonieuse, tolérante et parfaite jusqu’aux cimetières. Oui, des cimetières mixtes on en compte à Joal-Fadiouth et à Santhiaba, c’est à Ziguinchor, dans le sud du Sénégal.
On se met autour du barada [théière] pour prendre un verre de Ataya [Thé du Sénégal] sinon même se passer dans la rue un gobelet de Café Touba [Café fait au Sénégal] à deux trois et même plus.
Le car rapide [cars made in Sénégal]?est un moyen de transport public mythique mais qui ne se limite pas seulement à assurer la mobilité des personnes et des biens. À chacun de ses Klaxons, il nous rappelle la richesse de notre patrimoine matériel.
On vous fera comprendre de la même sorte que nous aimons tant ce drapeau vert, jaune et rouge avec une étoile verte au milieu de la bande jaune.
Que le Wolof [Principale langue nationale du Sénégal] plus qu’une langue est un vaste réseau social qui nous permet de vivre loin de la méfiance, dans la confiance et la crédulité.
On révèlera aussi à qui veut l’entendre que chez nous, le Mbalax [ Musique principale du Sénégal] est un trait d’union entre les cultures et pas qu’un simple rythme.
Pour ceux qui connaissent déjà notre lutte avec frappe, on vous mènera juste en pays sérère afin que vous puissiez profiter d’une belle séance de Mbappat [Lutte traditionnelle sans frappe] et par ricochet nous vous ferons découvrir dans la même zone le Nguel [Cérémonie festive avec danse traditionnelle sérère].
On ne va jamais oublier de vous rappeler que sur plan plan sportif, nous venons de réaliser un exploit historique en remportant tous les trophées de la Confédération Africaine de football;
qu’à quelques mois d’un scrutin présidentiel crucial, le peuple souverain du Sénégal saura comme il l’a toujours fait, exprimé sa maturité démocratique… pour vite se remettre au travail
afin de pouvoir célébrer les grandes victoires et autres instants solennels et mémorables qui se dessinent.
Nous voilà donc en train d’écrire une nouvelle page de notre si belle et riche histoire. Une page dont les prémices de beauté sont nimbées d’un tissu de cohésion flamboyant.
C’est dire que rien ni personne ne pourra entacher cet envol. En ce sens plus qu’une simple date, le 04 avril est devenu un rendez-vous citoyen, un jour de profession pour décliner notre réponse populaire à l’appel de l’honneur, qui nous rappelle notre commun vouloir de vie commune et notre sentiment de fierté nationale.
Notre attachement à cette devise qui veut que nous nous donnions la main en tant que peuple, pour un seul but à atteindre, dans une foi inébranlable.
On entonnera ce jour dans la plus parfaite des symphonies et telle une seule voix les cinq couplets du “lion rouge” qui a fini de retentir un peu partout dans chaque parcelle de terre de ce monde à chaque fois qu’il s’est agi de faire valoir l’identité et les prouesses des peuples.
Des sacrifices énormes ont été consentis, du sang versé en tout honneur et toute dignité, la fierté brandie comme arme au nom de ces générations préservées du mal.
Les champs de bataille seuls témoins valables continuent de célèbrer la bravoure de nos anciens combattants.
Partout dans les zones de crise du monde, d’aujourd’hui, on peut facilement lire « On nous tue mais on ne nous déshonore pas ».
Oui ! nos jambars tiennent haut le mât du drapeau national qui flotte contre vents et marées en l’honneur de ce peuple.
Nous sommes forts,?Nous sommes le Sénégal ?Nous sommes les sénégalais Fiers de l’être
Bonne fête de l’indépendance à tous!
Papa Ibrahima Diassé
4 Commentaires
“On nous tue, on nous emprisonne, on ne nous asservit pas” aurait pu etre leur devise.
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En Avril, 2023 (19:16 PM)Participer à la Discussion