Sur les craintes de voir son parti participer aux prochaines élections de 2007, il explique qu’elles n’ont aucun fondement puisque la formation politique qu’il dirige, le parti Reewmi a une existence légale. "C’est un faux-débat. Le parti a existé sous le nom de Fpj qui avait un récépissé et qui était dirigé par un homme qui était à la Présidence de la République. Donc je ne comprends pas pourquoi ces gens-là se lèvent pour soulever la question". Pour lui, "la seule obligation que demande la loi, c’est d’en informer les autorités administratives". Ce qui, selon Idrissa Seck a bien été fait par voie d’huissier, déclare-t-il.
Revenant sur les supputations sur une arrestation probable de sa personne, Idrissa Seck estime qu’il n y "pas de possibilité" de le faire car, révèle-t-il, aucune instance ne peut revenir sur l’arrêt de la Haute cour de justice. Mais il ne nie pas que le projet puisse exister puisque l’arrestation de certains de ses gardes de corps dont le chef de sa sécurité, Idrissa Seck pourrait bien procéder de cette logique, à l’écouter.
0 Commentaires
Participer à la Discussion