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Politique

Tambacounda : Tentative d'assassinat contre le coordonateur du mouvement M23 par des nervis du PDS

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Tambacounda : Tentative d'assassinat contre le coordonateur du mouvement M23 par des nervis du PDS

Le Coordonnateur régional du M23 Guy Marius Sagna a échappé de justesse à un assassinat. Des nervis armés jusqu’aux dents dirigés par le SG de l’UJTL Mamadou Bâ à bord d’un véhicule l’ont pourchassé de l’ancienne gare routière à la permanence de Benno Siggil Sénégal où ils l’ont asséné des coups de machette.

C’est aux environs de 22 heures ce vendredi que le Coordonnateur du M23 a été informé d’une éventuelle attaque sur sa personne par des nervis du PDS. Dés que l’information est tombée, Guy Marius Sagna met fin à ses activités pour rentrer tranquillement chez lui. A hauteur de l’ancienne gare routière de Médina Coura, la dizaine de nervis dirigés par le SG de l’UJTL Mamadou Bâ l’ont aperçu sur sa moto avant de le pourchasser. Sentant le coup venir, Guy retourne au siège de Benno Siggil Sénégal sis au quartier Dépôt. C’est en ce moment qu’un nervi armé de machette qui est descendu du véhicule avec des photos du Candidat des FAL 2012 est venu se présenter à lui. L’inconnu qui ne voulait pas se tromper de cible, lui demanda alors si c’était bien lui Guy Marius Sagna. Une question à laquelle, il a répondu par l’affirmatif. Mais à peine qu’il finissait de donner son identité que d’autres nervis armés de machette et de pistolet surgissent et l’arrosent de coups. Sentant, l’étau se resserrer sur lui, Guy prend ses jambes à son coup pour se refugier dans une maison d’à côté. Il a fallu l’intervention du commandant urbain pour le sauver des griffes des nervis qui voulait l’éliminer. Les nervis ont emporté la moto de guy.  Pour parer à toutes éventualités, Guy a été acheminé au commissariat pour y passer la nuit. Joint au téléphone, Guy Marius Sagna a indiqué qu’une plainte est déjà déposée auprès des limiers du commissariat pour plus de lumière sur cette affaire. Il faut aussi signaler que la police a elle aussi ouvert une enquête et se trouve aujourd’hui aux trousses des nervis.

Déplorant la situation, des témoins ont fait part de leur tristesse. Ils font remarquer que « quelle que soit l’importance de l’élection, elle reste une simple élection et ne vaut pas la peine que l’on use de la violence ».  En tout cas, cette atmosphère de violence n’augure rien de bon au vu des évènements sous haute tension.



16 Commentaires

  1. Auteur

    Thiernox

    En Février, 2012 (15:23 PM)


    Ce que les nervis du PDS ne comprennent pas, c'est qu'au Sénégal tout se sait. Que Wade parte dans une semaine ou dans un siècle, la roue va tourner, et on aura pas oublié vos noms et vos visages. Tous les collabos devront tôt ou tard payer.

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  2. Auteur

    Pepito

    En Février, 2012 (15:29 PM)
    Wa tamba aye sanguinère lègne dé! Niou diar moueytou lègne! Khana vous avez oubliez la dernière fois comment ils ont traoté Macky Sall a Maka!

    Ya salam
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    Auteur

    Prof

    En Février, 2012 (15:34 PM)
    et où sont les militants de beeno.tous des trouillards.vive barth diaz
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    Auteur

    Khewel

    En Février, 2012 (15:35 PM)
    wa tamba dor fayou mangi dakar mais wakhlemna lo lenne sokhla diassi ou pistolle bou de khekh rek mangi thibir
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    Auteur

    Holmes Of Backer's Street

    En Février, 2012 (15:35 PM)
    Trop facile, clair et limpide pour être VRAI!

    -Pourquoi alors ouvrir et mener une enquête :?:  :hun:  :?: ... -c' est la cueillette qui sied :-D  :-D  :-D 
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    Auteur

    Na

    En Février, 2012 (15:38 PM)
    MOBILISER VOUS WA TAMBA ET CHASSER SES NERVIS DE VOTRE VILLE. PRENEZ LES EN PHOTOS AVEC VOTRE PORTABLE OU APPAREIL PHOTO. ON VAS TOUS LES RETROUVER ET LEUR ÉDUQUER.
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    Auteur

    Dabo

    En Février, 2012 (15:56 PM)
    Je vous jure Ce Mamadou Ba a pas longue vie car c'est un jeune voleur qui a volé le portable de Aïda Mbodji et a bapassé une femme d'un policier sans suite. J'assure à tout le monde je vais les venger tous
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    Auteur

    Ganildo

    En Février, 2012 (15:57 PM)
    "d’autres nervis armés de machette et de pistolet surgissent et l’arrosent de coups."

    avec toutes ces armes s'ils voulaient l'assassiner pourquoi ils ne l'ont pas décapité ou lui tirer dessus?



    doul rekk
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    Auteur

    Un Senegalais

    En Février, 2012 (16:19 PM)
    Sénégal, comme toi, comme tous nos héros,

    Nous serons durs sans haine et des deux bras ouverts.

    L'épée, nous la mettrons dans la paix du fourreau,

    Car le travail sera notre arme et la parole.

    Le Bantou est un frère, et l'Arabe et le Blanc.



    Mais que si l'ennemi incendie nos frontières

    Nous serons tous dressés et les armes au poing :

    Un peuple dans sa foi défiant tous les malheurs,

    Les jeunes et les vieux, les hommes et les femmes.

    La mort, oui ! Nous disons la mort, mais pas la honte.
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    Auteur

    D.

    En Février, 2012 (20:10 PM)
    ABDOULAYE WADE EST EN TRAIN DE TUER DES SENEGALAIS POUR IMPOSER SON REJETON AU POUVOIR !!!!!!!!



    AU nom de tous les Malick BA,



    au nous de toutes les victimes des Wade,

    au nom de notre cher Senegal,



    RESISTONS !!!!!!!!!!!!



    Il faut que les



    WADE DEGAGENT !!!!!!
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    Auteur

    An Om

    En Février, 2012 (21:11 PM)
    En bon diola mon cher Guy ,tu sast bien que le moyen le plus sûre de connaitre et punir tes agresseurs est d'aller verser nos fétiches ( BAKINE ). Ce sont eux qui viendront te dire pardonnes-nous. S'ils ne le font pas ,ce sont tous les membres de leurs familles qui périront avec eux . Ce n'est même pas le temps de perdre du temps avec la police ou la justice d'ablaye wade. Je suis déjà prêt à t'aider en tant que frére de sang.Je suis en route pour la casamance .
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    Auteur

    Diop

    En Février, 2012 (22:29 PM)
    Je me demande dès fois quel âge ont les journalistes sénégalais. Ils font des articles à dormir debout. Il suffit de lire pour se rendre compte que tout est faux. Ces journalistes doivent réellement être très jeunes. Parce qu'ils font tout pour attiser le feu afin de provoquer une guerre civile dans ce pays. Quitte à inventer des histoires fausses ou à faire de gros titres racoleuses. Si ces journalistes étaient un peu plus âgés il comprendraient qu'une guerre civile au sénégal ce sera la catastrophe pour plus de 10 ans et personne ne sera épargné y compris ces journalistes eux même ainsi que leur famille. Wade est majoritaire dans ce pays. Pour l'instant il parvient à tenir ses supporter. Mais que se passera-t-il s'il leur donne l'ordre de réagir? Ce serait le massacre. Pour l'instant ces M23 occupent l'espace mais si wade gagnent les partisan de wade n’accepteront plus de les laisser casser les bien publics et créer du désordre. Réveillez vous.
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    Auteur

    Patriote

    En Février, 2012 (00:33 AM)
    JE CONNAIS CE MAMADOU BA. JE VOUS S ASSURE QUE CE TYPE INCARNE LA PROMOTION DE LA MEDIOCRITE ABSOLUE. C EST UN ENSEIGNANT QUI SERVAIT DANS LE MAKACOULIBANTANG MAIS VOUS SAVAIS CE QU IL FAISAIT IL DESERTAIT LE POSTE PENDANT DEUX MOIS EN PLEIN ANNEE SCOLAIRE; C EST UN TYPE QUI A SACRIFIE PAS MAL DE GENERATIONS DE SENEGALAIS. CE QUI DOUTE DE CELA N ONT QU A DEMANDE L INSPECTEUR DE TAMBA. C EST INADMISSIBLE CETTE PROMOTION DE LA MEDIOCRITE C EST ECOEURANT ET REVOLTANT. MAIS IL EST L IMAGE DU PDS ; APRES WADE SON DOIT ETRE REGARDER PARCEQUE CERTAINES LANGUES SOUTIENNENT QU IL N A MEME PAS LE BFEM; LE DRH DOIT REVOIRV SON CAS. :sn: 
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    Auteur

    Orléans45

    En Février, 2012 (08:09 AM)
    1

    Manifeste de « Devoir de Résistance »

    « Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko

    Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.

    Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?

    Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.

    Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.

    2

    Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.

    Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.

    Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.

    La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.

    3

    1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.

    La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.

    2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au

    4

    dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.

    3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.

    Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis

    Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey

    5

    Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,

    Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger

    Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger

    Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger

    Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger

    Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger

    Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Lina Husseini, Libraire, Dakar

    Mamadou Sarr, Colonel à la retraite

    Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Xavier Correa, Juriste, New-York

    Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris

    Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
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    Auteur

    Baye

    En Février, 2012 (10:35 AM)
    RESISTONS !!!!!!!!!!!!



    Il faut que les



    WADE DEGAGENT !!!!!! :sn: 
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    Auteur

    Fodekabadiaby

    En Décembre, 2012 (15:36 PM)
    le mali en majorite n est pas pour l intervention
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