Les vingt-deux (22) élèves exclues par l’Administration de l’Institution Sainte Jeanne d’Arc seront réintégrées dans l’établissement pour l’année 2019/2020 à compter du 19 septembre 2019, selon le ministère de l’Education nationale. Une décision bien accueillie par l’opinion publique.
Leader d'Afrikajom Center, Alioune Tine d’affirmer : « Il faut se réjouir de la fin heureuse de l'affaire de l'Isja, les négociations n’ont pas été faciles. Le débat national a été clivant au sein de tous les secteurs de l’opinion. L’essentiel est d’en tirer les leçons pour une solution définitive, mais aussi travailler la prévention ».
12 Commentaires
Vraiment, N'importe Quoi!!!
En Septembre, 2019 (12:13 PM)Tab
En Septembre, 2019 (12:18 PM)Honte
En Septembre, 2019 (12:35 PM)As
En Septembre, 2019 (12:43 PM)Maintenant que c est réglé il vient ouvrir sa grande gueule
Et encore sans rien dire , toujours la langue de bois
Lui , seydi gasssma , assane dioma ndiaye, on ne les a jamais entendus
ils me sont là que pour attaquer macky et défendte Les homosexuels
De vrais faux culs, de vrais fumiers
......
L’Etat devait arrêter la controverse autour du respect du règlement intérieur de Jean D’Arc avant qu’il ne soit trop tard!
(Par Ibrahima SENE).
11 septembre 2019
Le Khalife général des Tijanes , après l’énergumène Moustapha Diakhaté, a jeté de l’huile au feu, alors que sa fonction, comme Chef de confrérie liée aux » shiites libanais » et à l’Eglise, sa posture publique aurait dû être celle d’un réconciliateur!
Ce que ces » shiites libanais veulent », c’est l’ acceptation du port du voile par les femmes, dans les lieux publics et privés, comme la » Charia » en a décidé!
C’est pour cette raison qu’ils ont eu recours à la provocation à Jean d’Arc, en s’opposant ostentatoirement à l’application du règlement intérieur de l’Ecole, même après en avoir pris connaissance à temps!
Et des gens comme Moustapha Diakhaté, évoquent la Constitution du Sénégal, pour leur donner raison!
Cet énergumène n’ a pas cure du fait que c’est un problème de « port vestimentaire dans une Ecole privée selon son règlement intérieur.
Ces gens là prétendent que l’Ecole devait se conformer à la Constitution pour accepter le voile des filles dans son établissement, alors qu’il n’ y a aucune disposition de la Constitution, ni aucune loi qui réglemente le » port vestimentaire des Sénégalais ».
Chaque entité publique ou privée, décide souverainement du » port vestimentaire dans ses locaux publics ou privés ».
C’est ainsi que la Présidence de la République et le Bulding adminstratif interdisent un certain type de » de port vestimentaire », sans se référer à aucune disposition de la Constitution.
Aujourd’hui , on interdit à Jean d’Arc d’en faire autant conformément à son règlement intérieur connu de tous ceux qui veulent y envoyer leurs filles au nom de la Constitution!
Ces gens -là prennent la Charia comme étant la Constitution du Sénégal!
Si par faiblesse, le gouvernement leur donne raison , au risque même de mettre l’Ecole sous » administration provisoire » comme le propose Moustapha Diakhaté, ou de retirer son agrément, comme il le propose et que reprend à son compte, le Khalife Général des Tijanes, la porte serait ouverte à l’imposition, dans tous les milieux publics comme privés, du port du voile, conformément à la charia, en violation flagrante de notre Constitution.
Les républicains et démocrates de ce pays ne peuvent pas accepter que l’on juge les décisions souveraines du privé ou du public, à l’aune de la Charia!
Notre pays renoncerait, le cas échéant, à sa réputation légendaire de cohabitation pacifique et conviviale entre l’ Islam et le Christianisme, qui est la marque de fabrique de la cohésion sociale, et de la stabilité du pays.
Les » shiites libanais » ne peuvent pas avoir joui, de longue date de cette convivialité, pour aujourd’hui la torpiller pour des raisons non avouées, et que les Sénégalais avertis ne peuvent pas ignorer.
La seule décision de l’Etat qui pourrait contrecarrer leur projet, c’est de leur dire » de se conformer au règlement intérieur de l’ Ecole, ou de retirer leurs filles ».
Le Sénégal ne devrait pas accepter que l’Etat légifère sur le port vestimentaire des filles dans les espaces publics et privés.
L’exploitation à outrance des convictions islamiques de plus de 90% des Sénégalais à des fins étroitement sectaires, ne devrait pas prospérer dans le Sénégal d’aujourd’hui.
Barham221
En Septembre, 2019 (15:52 PM)Il faut dire la vérité. Si les responsables de l'ISJA ne veulent pas de filles voilées dans leur Etablissement pour quoi ils ont accepté de les inscrire à la première venue. Ce qui n'est pas juste c'est de les avoir embarquées et de vouloir les débarqués en cours de route. L'ISJA doit les dédommager car le règlement intérieur de leur inscription initiale n'est pas le même que celui qu'on veut leur appliquer maintenant.
Les parents d'élèves n'ont qu'à porté plainte. Le droit sera forcément dit. L'Etat aura toujours peur de s'avancer sur un terrain socio religieux.
Thieuy Tine
En Septembre, 2019 (23:02 PM)Abdou
En Septembre, 2019 (09:54 AM)Participer à la Discussion