Étouffants et polluants : les agents occlusifs
Les plus courants sont les silicones, c’est-à-dire des plastiques. Beaucoup de marques les utilisent pour tenir leur promesse d’une chevelure souple et brillante. Le silicone entoure le cheveu d’une gaine, mais il se dépose aussi sur le cuir chevelu. À la longue, il finit par l’étouffer et dégrader la qualité des cheveux. Dans la même catégorie, on trouve les ammoniums quaternaires et les huiles minérales dérivées du pétrole. Si nos cheveux n’apprécient pas les agents occlusifs, ce n’est rien par rapport à la planète : il faut 400 à 500 ans pour que le silicone finisse par se dégrader dans l’environnement.
Sur l’étiquette : Silicone (dimethicone, cyclopentasiloxane, phényldiméthylpolysioxane…), ammoniums quaternaires (cetrimonium, stearalkonium chloride, behentrimonium methosulfate), huiles minérales (paraffinum liquidum, petrolatum, ceresin, mineral oil).
Allergisants et douteux : les conservateurs
Les plus controversés sont, bien sûr, les parabens. Si les études scientifiques n’ont pas prouvé formellement leur toxicité, ils sont néanmoins considérés comme des perturbateurs endocriniens (ils interagissent avec nos hormones) et certains sont soupçonnés d’être cancérigènes. Les deux parabens les plus douteux sont le butylparaben et l’isobutylparaben.
Sur l’étiquette : Tous les noms contenant « butyl ». Par exemple : paraoxybenzoate de butyle ou Isobutyl 4-hydroxybenzoate.
Agressifs et desséchants : les sulfates
Il s’agit de tensioactifs, c’est-à-dire d’agents lavants fortement dégraissants. À haute dose, ils dessèchent les cheveux et provoquent le fameux effet rebond, une surproduction de sébum qui nous oblige à nous laver les cheveux de plus en plus souvent.
Sur l’étiquette : laurylsulfate de sodium, sodium laureth sulfate, ammonium lauryl sulfate. À ne pas confondre avec le sodium lauryl sulfoacetate, doux et biodégradable.
Toxiques et polluants : les éthers de glycol
Cette famille comprend une majorité de solvants et un antibactérien, qui remplace parfois les parabens. Les éthers de glycol sont des perturbateurs endocriniens et sont également soupçonnés d’être à l’origine de certains cancers. Ils ne sont biodégradables ni dans l’environnement ni dans l’organisme, à l’intérieur duquel ils s’accumulent.
Sur l’étiquette : phénoxyéthanol, PEG, PPG, polyéthylène glycol, phénoxytol…
1 Commentaires
Femme Au Volant
En Janvier, 2017 (23:50 PM)Jour 25
AVIS AUX AUTORITES (je vais poster cet avertissement quotidiennement et jusqu'à un signe, sinon l'impunité et le je-m'en-foutisme auront triomphé).
AUJOURD'HUI VERS 16:00, JUSTE APRES LA PASSERELLE DE NABIL CHOUCAIR, UN VEHICULE TOYOTA 4 X 4, IMMATRICULE AD-21650 M'A FAIT UNE QUEUE DE POISSON TOUT EN ME HEURTANT ET EN EGRATIGNANT SON PARE-CHOCS ARRIERE. LE CHAUFFARD NE S'EST MEME PAS ARRETE MALGRE MES COUPS DE KLAXON ET MA POURSUITE. IL A FILE VERS PIKINE ALORS QUE J'ALLAIS DU COTE DE L'ECOLE MARIAMA NIASS.
Une alerte face à des véhicules de l'administration qui se croient tout permis alors que nous trimons pour nous payer à la sueur de notre front des voitures dont nous avons besoin.
Une légèreté d'un homme face à une dame qui ne dit pas son nom.
Manque de savoir-vivre, d'éducation et de galanterie.
Aucune notion du sens de la responsabilité et de la sécurité d'autrui.
Halte aux délits de fuite
C’est juste une voiture mais sur le moment, on peut disjoncter face à un énergumène pareil et face à l’hypocrisie ambiante si je l’avais chopé…
Je suis vraiment peinée et en rogne.
Qu’Allah nous préserve de Satan. Amîne.
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