Devant les journalistes, El hadji Bassirou Diagne Marième Diop, ambassadeur itinérant auprès du Chef de l’Etat, Grand Serigne de Dakar, a tenu un point de presse, samedi pour s’expliquer sur sa médiation dans la crise scolaire.
Entouré des dignitaires de la Collectivité léboue, des imams et chefs traditionnels, le Grand Serigne a salué la levée du mot d’ordre de grève de l’intersyndicale qu’il qualifie de « paix des braves ». Puis, il a expliqué les raisons de sa médiation : « je tiens toutefois à préciser que je n’ai pas été mandaté par aucune autorité de l’Etat. C’était une initiative personnelle, en ma qualité de notable soucieux avant tout de l’intérêt de l’avenir de nos enfants ». Et le Grand Serigne de Dakar de poursuivre, « cette initiative était inspirée par ma conviction qu’aucun effort ne devrait être ménagé pour maintenir la paix civile, la quiétude de nos concitoyens et la stabilité de nos institutions ».
Entouré des dignitaires de la Collectivité léboue, des imams et chefs traditionnels, le Grand Serigne a salué la levée du mot d’ordre de grève de l’intersyndicale qu’il qualifie de « paix des braves ». Puis, il a expliqué les raisons de sa médiation : « je tiens toutefois à préciser que je n’ai pas été mandaté par aucune autorité de l’Etat. C’était une initiative personnelle, en ma qualité de notable soucieux avant tout de l’intérêt de l’avenir de nos enfants ». Et le Grand Serigne de Dakar de poursuivre, « cette initiative était inspirée par ma conviction qu’aucun effort ne devrait être ménagé pour maintenir la paix civile, la quiétude de nos concitoyens et la stabilité de nos institutions ». Il a également félicité les responsables syndicaux pour avoir su faire preuve d’un esprit hautement républicain en plaçant l’intérêt supérieur de la nation au-dessus de tout. Sur son initiative personnelle, l’ambassadeur itinérant a rappelé que sa délégation s’est déplacée au siège de la Csa, Cité Soprim, avec les dignitaires et imams pour nouer le dialogue avec les syndicats. Dans ses bons offices, il a salué l’apport et le rôle déterminant des facilitateurs comme le Professeur à l’Ucad, Ismaïla Diagne, Youssoupha Wade du Comité national du dialogue social et Lamine Ndiaye Massogui, ingénieur agronome.
Sur les nombreux efforts de l’Etat en matière d’éducation et de formation et qui a accepté de satisfaire 59 points sur les 60 que compte la plate-forme revendicative, le Grand Serigne s’est réjoui de cet acte hautement positif. Avec cette levée du mot d’ordre, il a souhaité qu’on privilégie le dialogue social. Il n’a pas manqué d’annoncer qu’il souhaite rencontrer le président de la République pour poursuivre la discussion avec lui. « Dès ce lundi, je compte rencontrer le ministre de l’Education, le Pr Moustapha Sourang pour lui rendre compte », a fait noter le Grand Serigne. Selon lui, cette mission de bons offices est un devoir de tout dignitaire soucieux de la paix et la concorde, car dans le passé, à chaque fois qu’une situation se présentait, mes prédécesseurs prenaient le bâton de pèlerin pour que tout revienne à la normale.
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