La tragique disparition d’Alpha Yéro Tounkara, étudiant décédé lors des récentes manifestations à Saint-Louis, a suscité une vague d'émotion et de colère parmi les étudiants. Deux jours après cet événement douloureux, la Coordination des Étudiants de Saint-Louis (CESL) a tenu un point de presse pour exprimer son indignation envers les autorités de l'Université Gaston Berger (UGB).
Profondément touchée par la perte de l'un des leurs, la CESL a vertement critiqué les autorités de l'UGB, qu'elle accuse de négliger le bien-être des étudiants. Lors de leur déclaration, ils ont dénoncé « le manque de transparence et de compassion de ces autorités ».
Les étudiants reprochent aux autorités d’avoir « diffusé des informations fallacieuses concernant le décès d'Alpha Yéro Tounkara, sans les informer préalablement ni consulter sa famille ». Ils ont insisté sur le fait que c'était à eux, et non aux autorités universitaires, de prendre l'initiative d'informer la famille du défunt.
De plus, la CESL a adressé un avertissement sévère au ministre de la Justice, l’accusant de tenter de faire porter la responsabilité aux étudiants. Elle rejette catégoriquement ses propos qu’ils jugent infondés et qu’ils assimilent à une tentative de manipulation.
La coordination estudiantine dénonce également l'inaction du ministère de l'Enseignement Supérieur, qu'elle estime être en décalage avec les préoccupations réelles des étudiants. Elle exige qu'il assume ses responsabilités envers la communauté estudiantine.
Par ailleurs, la CESL pointe du doigt l'attitude « irresponsable des autorités internes de l'université, notamment le Président du Conseil d'Administration (PCA) et le Recteur ». Les étudiants dénoncent « le manque d'engagement des autorités envers les étudiants et leur indifférence face aux difficultés rencontrées au sein de l'établissement ».
Dans leur constat, la Coordination des Étudiants de Saint-Louis révèle avoir remarqué une série de violations des franchises universitaires, avec la présence continue des forces de l'ordre sur le campus, cela malgré les protestations des étudiants. La CESL, visiblement très peinée, estime que le Recteur a failli à sa mission de protéger les étudiants et leurs biens, ce qui a contribué, selon elle, à la survenance des drames comme celui d'Alpha Yéro Tounkara. La CESL, qui a fait une forte mobilisation, a aussi dénoncé l’attitude du directeur du CROUS « pour son absence d'intérêt envers la vie estudiantine et son manque de connaissance des réalités du campus ». La CESL, qui a organisé la conférence de presse en présence de la famille du défunt étudiant, réclame que toute la lumière soit faite sur cette affaire et exige aussi la démission du ministre de l’Enseignement supérieur et celle du ministre de la Justice.
Profondément touchée par la perte de l'un des leurs, la CESL a vertement critiqué les autorités de l'UGB, qu'elle accuse de négliger le bien-être des étudiants. Lors de leur déclaration, ils ont dénoncé « le manque de transparence et de compassion de ces autorités ».
Les étudiants reprochent aux autorités d’avoir « diffusé des informations fallacieuses concernant le décès d'Alpha Yéro Tounkara, sans les informer préalablement ni consulter sa famille ». Ils ont insisté sur le fait que c'était à eux, et non aux autorités universitaires, de prendre l'initiative d'informer la famille du défunt.
De plus, la CESL a adressé un avertissement sévère au ministre de la Justice, l’accusant de tenter de faire porter la responsabilité aux étudiants. Elle rejette catégoriquement ses propos qu’ils jugent infondés et qu’ils assimilent à une tentative de manipulation.
La coordination estudiantine dénonce également l'inaction du ministère de l'Enseignement Supérieur, qu'elle estime être en décalage avec les préoccupations réelles des étudiants. Elle exige qu'il assume ses responsabilités envers la communauté estudiantine.
Par ailleurs, la CESL pointe du doigt l'attitude « irresponsable des autorités internes de l'université, notamment le Président du Conseil d'Administration (PCA) et le Recteur ». Les étudiants dénoncent « le manque d'engagement des autorités envers les étudiants et leur indifférence face aux difficultés rencontrées au sein de l'établissement ».
Dans leur constat, la Coordination des Étudiants de Saint-Louis révèle avoir remarqué une série de violations des franchises universitaires, avec la présence continue des forces de l'ordre sur le campus, cela malgré les protestations des étudiants. La CESL, visiblement très peinée, estime que le Recteur a failli à sa mission de protéger les étudiants et leurs biens, ce qui a contribué, selon elle, à la survenance des drames comme celui d'Alpha Yéro Tounkara. La CESL, qui a fait une forte mobilisation, a aussi dénoncé l’attitude du directeur du CROUS « pour son absence d'intérêt envers la vie estudiantine et son manque de connaissance des réalités du campus ». La CESL, qui a organisé la conférence de presse en présence de la famille du défunt étudiant, réclame que toute la lumière soit faite sur cette affaire et exige aussi la démission du ministre de l’Enseignement supérieur et celle du ministre de la Justice.
9 Commentaires
Un Passant
En Février, 2024 (03:33 AM)-
Il emprisonne, reporte, gaz, tue les jeunes et envoie le bateau Sénégal dans le fossé.. Maintenant, Mr crie au loup🐺 Alerte au Dialogue! ou le pays tombera dans des forces occultes..! Foutaise, il ne serait pas assez mûr pour le fauteuil ou distinguer le bien et du mal ?
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{comment_ads}Macky Dongh
En Février, 2024 (10:02 AM)Peul+ Toucouleur=juif
En Février, 2024 (06:19 AM)Abdoulaye wade est wololf il a toujours organisé des élections inclusives même son pire ennemi Idy il ne l'a pas rendu inéligible et même que le traitre Macky a qui il a tout donné dont il disposait des dossiers compromettants
Pour la première fois un toucouleur arrive au pouvoir Macky il rend inéligible trois opposants capables de le battre (Karim,Khalifa et Sonko).Pour la première plus de 2000 jeunes sont emprisonnés,plus d'une centaine tues et de nombreux disparus.Et cerise sur le gâteau il refuse de quitter le pouvoir en organisant une fausse crise institutionnelle.
Leçons à tirer on ne confie jamais à un toucouleur un pseudo pouvoir à fortiori l'état à des toucouleurs .L'histoire nous apprend que pouvoir maintenir leurs privilèges les Almamy du fouta avaient abandonné le grand conquérant Cheikh Omar Foutiyou Tall pour s'allier à Faidherbe.Les toucouleurs ont toujours eu le complexe d'infériorité des français parce qu'ils n'habitaient pas dans les quatre communes c'est ce complexe qui poursuit Macky aujourd'hui.
Alors qui a payé pour qu'il y ait un assinat ?
Les Politichiens
En Février, 2024 (07:21 AM)Xorom-sukeur
En Février, 2024 (08:16 AM)Lamine
En Février, 2024 (08:48 AM)Lg18
En Février, 2024 (15:18 PM)Il n'y aura pas de dialogue, Macky Sall a terminé son mandat et doit partir sans condition.
Il est impensable d'amnistier les assassins de 150 frères, leurs commanditaires et leur complices .
NOUS DITES NON
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