L’interdiction des jeux de hasards par l’islam n’ébranle guère les férus de cette activité. Malgré le Ramadan, ils continuent à pratiquer leur passion. «Durant le Ramadan, la personne qui continue à violer les interdits voit ses péchés doublés. Et parmi ces interdits, il y a les jeux de hasard», explique Oustaz Assane Seck selon qui, «durant le Ramadan, le parieur double ses péchés».
De l’avis de Oustaz Seck, «il faut que les gens aient conscience que les interdits de Dieu restent les mêmes avant, pendant et après le Carême».
Balayant d’un revers de main l’argument «nourrir les familles» derrière lequel se barricadent les parieurs pour justifier leur pratique, Oustaz Assane Seck affirme : «ces gens-là sont en train de commettre des péchés et leurs familles également». Rien que pour cette raison, précise-t-il, «chacun d’entre nous doit regarder ce qu’il donne à sa famille». Ce qu’il conseille ainsi à ceux qui s’adonnent au jeu de hasard, c’est tout simplement de «prier Dieu pour qu’Il les sorte de cette situation et leur trouve un autre moyen de nourrir leurs familles. Parce que l’islam a mis dans le même verset les jeux de hasard et les boissons alcoolisés».
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