Le Ministère de l’Economie du Plan et de la Coopération a opté pour une démarche inclusive dans le cadre de l’élaboration de la troisième phase du Plan Sénégal émergent. Dans ce sillage, les acteurs dans les différentes couches sociales ont participé aux concertations. « Le secteur privé ayant été appelé à jouer un rôle majeur dans le PAP 2A, orientation qui ne devrait pas être infléchie dans la stratégie à venir, le Ministère de l'Économie, du Plan et de la Coopération (MEPC), à travers la DGPPE, a jugé indispensable de mener des discussions élargies avec lui » explique-t-on dans les termes de références de la journée de concertation avec le secteur privé.
L’idée étant de partager la synthèse des travaux sur le Diagnostic et la Stratégie de la formulation du Plan d'Actions prioritaires du PSE, pour recueillir les observations, avis, suggestions et propositions de 50 acteurs du Secteur privé qui ont pris part à la rencontre. « Nous avons procédé à un diagnostic et une évaluation de la phase 2024-2024. Il s’agit d’identifier les contraintes et de les transformer en défis à relever » a expliqué le coordinateur de la Direction générale de la planification et des politiques économiques. Souleymane Diallo a fait part des objectifs spécifiques à atteindre dans la phase opérationnelle, qui a démarré au niveau technique. Seulement note-t-il, le travail est soumis à l’ensemble des acteurs dans les différentes catégories, après les élus locaux, la société civile, le monde universitaire entre autres, le secteur privé est convoqué à la table des concertations. Il s’agit de recueillir leurs avis et observations sur le travail qui a été fait et sur les orientations qui sont fixées. Quelles sont les réformes majeures qu’il faut mettre en œuvre ? C’est fondamental pour la création de richesse, d’emplois. « Les projets que le secteur privé compte porter sur les cinq prochaines années seront des projets purement privés ou un partenariat avec le gouvernement. Ils doivent changer structurellement l’économie. C’est fondamental, ce n’est pas juste un petit projet d’un milliard voire moins. Ils doivent être dans un secteur porteur comme l’industrialisation qui a beaucoup de promesses dans le pays », note le coordonnateur.
Pour Mouhamadou Bamba Diop, au nom du secteur privé, l’Etat est dans son rôle régalien pour booster et accompagner le secteur privé qui doit à son tour générer et des richesses et des emplois dans le pays.
L’idée étant de partager la synthèse des travaux sur le Diagnostic et la Stratégie de la formulation du Plan d'Actions prioritaires du PSE, pour recueillir les observations, avis, suggestions et propositions de 50 acteurs du Secteur privé qui ont pris part à la rencontre. « Nous avons procédé à un diagnostic et une évaluation de la phase 2024-2024. Il s’agit d’identifier les contraintes et de les transformer en défis à relever » a expliqué le coordinateur de la Direction générale de la planification et des politiques économiques. Souleymane Diallo a fait part des objectifs spécifiques à atteindre dans la phase opérationnelle, qui a démarré au niveau technique. Seulement note-t-il, le travail est soumis à l’ensemble des acteurs dans les différentes catégories, après les élus locaux, la société civile, le monde universitaire entre autres, le secteur privé est convoqué à la table des concertations. Il s’agit de recueillir leurs avis et observations sur le travail qui a été fait et sur les orientations qui sont fixées. Quelles sont les réformes majeures qu’il faut mettre en œuvre ? C’est fondamental pour la création de richesse, d’emplois. « Les projets que le secteur privé compte porter sur les cinq prochaines années seront des projets purement privés ou un partenariat avec le gouvernement. Ils doivent changer structurellement l’économie. C’est fondamental, ce n’est pas juste un petit projet d’un milliard voire moins. Ils doivent être dans un secteur porteur comme l’industrialisation qui a beaucoup de promesses dans le pays », note le coordonnateur.
Pour Mouhamadou Bamba Diop, au nom du secteur privé, l’Etat est dans son rôle régalien pour booster et accompagner le secteur privé qui doit à son tour générer et des richesses et des emplois dans le pays.
1 Commentaires
Que plus personne ne rentre au Sénégal les 6 prochains mois !
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